L’approche unique du syndicat CLAC en matière de relations de travail suscite l’intérêt des lieux de travail et des travailleurs du Nord
La CLAC a changé la donne en ce qui concerne le fonctionnement des syndicats au Canada. « Contrairement à l’approche conflictuelle adoptée par de nombreux syndicats traditionnels, la CLAC est fondée sur la conviction que la collaboration, et non le conflit, est la clé du succès pour les travailleurs et les employeurs », explique Ian DeWaard, directeur provincial de la CLAC. « C’est un modèle de partenariat où chacun se sent valorisé et entendu. »
Le CLAC est un syndicat multisectoriel moderne et progressiste. Nous avons acquis la réputation de travailler avec les employeurs pour obtenir des résultats équitables, plutôt que de nous contenter de tracer des lignes de front. En même temps, nous favorisons des conditions de travail respectueuses, équitables et culturellement sûres. Nous sommes toujours à l’écoute et en apprentissage.
Augmentation du nombre de membres dans le Nord de l’Ontario
Notre approche a suscité beaucoup d’intérêt dans les secteurs de l’exploitation minière, de la construction et du transport du Nord de l’Ontario. Parmi les projets majeurs auxquels participent les membres du CLAC, on compte la mine Newgold-Rainy River près de Fort Frances, la mine Equinox Gold-Greenstone à Geraldton et le projet aurifère IAMGOLD-Cote près de Sudbury.
Nous sommes prêts à entrer en contact avec les travailleurs et les entreprises du Nord et autochtones qui cherchent à créer de meilleurs lieux de travail.
« À mesure que la nouvelle se répand et que de plus en plus de travailleurs constatent les avantages de leurs services, il n’est pas surprenant que la CLAC devienne un choix privilégié pour les travailleurs du Nord de l’Ontario, déclare DeWaard. Nos membres sont invités à travailler sur davantage de projets dans le Nord. Nous sommes leur agent de négociation, leur porte-parole sur le lieu de travail, année après année. »
Les membres de la CLAC se rendent sur les chantiers du Nord et de plus en plus de personnes qui vivent dans la région sont embauchées sur ces projets. Au cours de la dernière année, quatre lieux de travail du Nord de l’Ontario ont choisi de quitter leur syndicat traditionnel et de se joindre à la CLAC.
« Les travailleurs choisissent le CLAC comme agent de négociation parce qu’ils constatent les résultats positifs d’une collaboration intentionnelle, qui se traduit par de meilleurs résultats pour toutes les parties sur le lieu de travail », explique DeWaard.
Collaboration sur le chantier
Dans un milieu de travail syndiqué traditionnel, il peut y avoir 16 syndicats différents sur un projet de construction typique, chacun négociant séparément avec l’employeur, en mettant l’accent sur la protection de son travail spécialisé. « Sur un chantier de construction CLAC où plusieurs corps de métier travaillent ensemble, le CLAC négocie une convention collective qui tient compte de l’ensemble de la main-d’œuvre plutôt que d’un corps de métier en particulier », explique DeWaard.
Dans un syndicat traditionnel, un travailleur peut être pénalisé pour avoir effectué une tâche qui ne relève pas de son domaine d’activité. Mais avec l’approche du CLAC, les travailleurs qualifiés sont encouragés à apporter leur contribution là où c’est nécessaire sans craindre de violer un contrat. Cette approche rend le chantier plus efficace et encourage le sens du travail en équipe.
Les travailleurs ont voix au chapitre
Au lieu de se considérer comme des adversaires, le CLAC encourage les employeurs et les employés à travailler ensemble vers des objectifs communs, ce qui conduit à un engagement partagé envers le succès de l’entreprise.
« L’approche de la CLAC met le partenariat au premier plan », affirme DeWaard. « Cela change la façon dont le lieu de travail est organisé, dont les négociations collectives se déroulent et dont nous résolvons nos conflits, car nous croyons que tout le monde mérite d’être traité avec dignité. »
Les travailleurs ont réellement leur mot à dire dans les décisions qui affectent leur vie professionnelle. Du point de vue de l’employeur, une approche plus collaborative permet d’éviter le genre de griefs et de grèves qui peuvent ralentir et détériorer les relations de travail.
Les travailleurs ont le choix
En Ontario, la CLAC représente environ 18 000 travailleurs dans plus de 350 lieux de travail. Environ 40 % d’entre eux travaillent dans le secteur de la construction, notamment dans les mines et les transports. Le reste travaille dans le secteur de la santé et dans divers autres secteurs.
« Les travailleurs ont invité CLAC à s’impliquer et, dans de nombreux lieux de travail, CLAC est présent depuis des décennies », explique DeWaard. « Ils ont choisi CLAC parce que l’approche que nous apportons au travail est judicieuse et a un impact positif sur la vie professionnelle des gens. »
Protéger les droits et les prérogatives
L’approche collaborative de la CLAC profite à tous et permet à l’ensemble de l’entreprise de prospérer. Compte tenu du nombre croissant de nos membres, cette approche trouve un écho auprès des travailleurs. En 2000, nous comptions 14 000 membres; aujourd’hui, nous représentons 65 000 travailleurs partout au Canada.
CLAC propose une approche rafraîchissante des relations de travail. Nous nous efforçons de bâtir des relations productives avec des solutions pratiques qui améliorent le bien-être général au travail.
Pour en savoir plus sur ce que CLAC peut apporter à votre lieu de travail, contactez Ian DeWaard par e-mail ; [email protected] ou visitez leur site Web.