Les 10 principales raisons pour lesquelles les Canadiens se sont rendus aux urgences cette année

De nouvelles données démontrent que les Canadiens qui se rendent aux urgences passent encore plus de temps lors de leurs déplacements que par les années précédentes. Ce rapport, récemment publié par l’Institut canadien d’information sur …

File photo. (Kindel Media/Pexels)

De nouvelles données démontrent que les Canadiens qui se rendent aux urgences passent encore plus de temps lors de leurs déplacements que par les années précédentes.

Ce rapport, récemment publié par l’Institut canadien d’information sur la santé, détaille également les dix principales raisons de ces visites.

Pour la quatrième année consécutive, les « douleurs abdominales et pelviennes » sont la principale raison de visite aux urgences. Parmi les visites analysées en 2023-24, plus de 444 000 personnes ont cité des douleurs abdominales ou pelviennes comme motif de leur visite, soit 93 000 visites de plus que la deuxième raison la plus citée, les douleurs à la gorge et à la poitrine.

D’autres raisons de visites aux urgences l’année dernière comprenaient des infections des voies respiratoires supérieures, des maux de dos, des troubles du système urinaire, une gorge enflée (pharyngite), une cellulite (infection cutanée) et des plaies ouvertes.

Les données précisent également la durée de ces visites, mesurée en nombre d’heures nécessaires pour résoudre 90 % des cas.

Les troubles urinaires sont les problèmes qui ont nécessité les consultations les plus longues, avec un temps de séjour allant jusqu’à 12,3 heures. Viennent ensuite les douleurs abdominales et pelviennes, avec un temps de séjour allant jusqu’à 10,3 heures, suivies de la cellulite.

Les quatre dernières années

Au cours des quatre dernières années, les douleurs abdominales et pelviennes ont été en tête de liste, et les douleurs à la gorge et à la poitrine sont également restées au deuxième rang.

Les maux de dos étaient le troisième problème le plus cité en 2020-21 et 2021-22, mais au cours des deux dernières années, les infections aiguës des voies respiratoires supérieures ont atteint la troisième place.